
Mercredi 26 octobre
à 18h
à la bibliothèque
Écrite à la suite d’un concours du magazine américain Reader’s Digest, la nouvelle « L’homme qui plantait des arbres » a eu un retentissement mondial. Elle est aujourd’hui considérée comme un manifeste à part entière de la cause écologiste. En effet, le berger ne parvient pas seulement à créer une forêt : celle-ci a des conséquences sociales et économiques, qui permettent aux villages des alentours d’accueillir de nouvelles familles alors qu’ils étaient menacés de désertification. Avant même l’invention de la notion de développement durable, la nouvelle en donne ainsi une illustration poétique.
La nouvelle véhicule de nombreux messages : écologiques, humanistes, politiques. L’histoire du berger Elzéard Bouffier est en effet considérée dans la littérature écologiste comme une parabole de l’action positive de l’homme sur son milieu et de l’harmonie qui peut s’ensuivre. La nouvelle est également une ode au travail, à l’opiniâtreté, à la patience, à l’humilité, et à la ruralité.
Source : Wikipedia
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